En attendant le réapprovisionnement en cours à la pharmacie, lire un article dont le titre est : « Donner rend heureux. » Après avoir observé l’activité cérébrale de personnes qui donnent quelque chose, « les scientifiques ont constaté que cet acte de générosité activait particulièrement la zone du cerveau liée au bien-être et à la sensation de bonheur. » (1) Plus on donne, plus l’endorphine se libère.
Ni une, ni deux, l’après-midi même, en recevant une amie des chats qui a sauvé le petit chaton adopté il y a un an et désormais pacha-plus-que-pacha, on lui donne pour son association de protection des chats, des sacs de croquettes, des boîtes de pâtés, des couvertures, sans oublier quelques cookies, mais pour elle-même, les cookies.
On n’a rien senti particulièrement dans le cerveau, toutefois ; pas de frétillement quelconque… Mais c’était vraiment très agréable ce moment de papotage et de partage.
Et vous, éprouvez-vous du bien-être à donner ?
(1) Le magazine, n°45, mars-avril 2019, Giphar
la question du lundi - Page 59
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La question du lundi : donner rend heureux, semble-t-il.
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La question du lundi : patience et courage.
Autour d’un travail de tricot (un point irlandais assez complexe), on aborde les notions de courage et patience. En effet, l’une dit : « tu as du courage », l’autre répond : « plutôt de la patience. » La discussion s’ensuit.
Comme l’indique à la page 1019 le dictionnaire Quillet Flammarion imprimé en 1956, on utilise le mot patience dans le sens de persévérance, et non dans celui de « vertu qui fait supporter avec calme les douleurs, les infortunes, les injures.» Là, effectivement, ne pourrait-on parler de courage ?
Qu’en pensez-vous ? Y a-t-il de la patience dans le courage, et vice-versa ?